4.8.07

De mes nouvelles, bonnes nouvelles.

Par où commencer? J'ai une nouvelle job que j'adore. C'est un emploi très valorisant, très dynamique, où l'on se développe beaucoup. Je passe ma journée à chercher des solutions, ce qui est pour moi très constructif. Je développe de nouvelles qualités, je m'ajuste, j'évolue, dans tous les sens du terme. Et plus je me vois aller, plus ça me motive à aller plus loin, à me dépasser, à continuer sur ma lancée.
Aussi, je contrôle beaucoup mieux mon stress. Je le comprends mieux, je le gère mieux. Je comprends la source principale de mon stress. C'est moi. Je génère du stress, inutilement, comme ça, parce que je le veux. Je presse mes épaules de toutes sortes de choses lourdes, j'incline mon dos sous le poids de ses choses, que j'ai choisi de mettre sur mon corps et mon mental. Je me rends coupable de plusieurs évènements, sans raison. Et j'essayer d'arrêter de le faire. De me rendre compte quand je le fais et d'arrêter le processus en cours. De faire un gros "FUCK OFF" et de penser à moi. Juste à moi.
Je discute avec le chat, je la force à m'aimer, j'en prends soin. Ça m'occupe. Je parle aussi à mon grand-papa, qui apparemment veille sur moi et m'aider à me "re-grounder" avec ce qui m'entoure. Je me concentre à m'écouter. À me connaître, à m'apprécier. À voir ce que je suis, ce que j'aime, ce que je veux. J'ai découvert une nouvelle sérénité. Et je l'apprécie grandement.
Ainsi vont les bonnes nouvelles. On peut dire que c'est le beau temps après la pluie, le soleil qui rayonne un peu tout partout. Les papillons, la liberté. Le vent qui m'emporte. Ça me rend poétique, c'est vrai. Mais, par dessus-tout, ça me rend fière. Fière d'être ma meilleure amie, d'être heureuse sans l'aide de personne, de me comprendre mais surtout de m'écouter.
"Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre."-Miguel de Cervantès

2 commentaires:

Anonyme a dit...

Ça me fait plaisir de voir que tu puisses résoudre des problèmes, que, j'ai dû prendre 20 ans de plus à règler.

Je me permettrai, cependant de te suggérer de ne rien prendre pour acquis. Un pas de bébé à la fois.

Nous trébuchons tous sur la certitude que tout est règlé.

J'allume un lampion à ta victoire!

Valérie a dit...

merci, c'est gentil :)