Je suis fille de vents et de marées
J'ai dans les veines de l'eau salée
Des galets partout dans le ventre
Des années de boue et de farniente
L'horizon gris me couvre et me calme
Le sable avale mes larmes
Trop de fois rendu les armes
Trop de coups, de mal à l'âme
Je suis fille tempête,
D'orages et de fêtes
Je suis fille bourrasque
Un coeur, trop de frasques
Je suis gamine impunie
Enfant-modèle, déni
Je me bats pour vivre
Je veux survivre, vivre, exister
Je suis une étoile de mer
Qu'on aurait coulé dans le béton
Je suis Côte-Nord déracinée
Urbaine navigatrice mésadaptée
Je nage à contre-courant
Pour être forte comme ma maman
Je souffle, tête hors de l'eau
Parfois trop peu, parfois une gorgée de mots
Je bois à grandes lampées
La vie que je semble m'insuffler
Quelques fois m'étouffe
Quelques fois en meurt, une seule seconde.
Je veux être capable de nager
De flotter sur le dos sans m'inquiéter
Je vogue vers le large pour trouver mon île
Mon île à moi, mon exil
Pour respirer l'air salin
Faire sortir le malin
Me tenir debout, sans crainte de tomber
J'étais, je suis, je serai
La mer calme comme l'huile, je vais l'admirer.
Et enfin, dans un soupir, avouer que si l'eau est la vie
Moi aussi, j'en suis remplie...
26.11.07
Merci pour la citation, Dom.
"-Garland, what do you fear most in the world?
-The possibility that love is not enough."
Twin Peaks
-The possibility that love is not enough."
Twin Peaks
22.11.07
Merci pour les beaux moments. J'te garde une belle p'tite place ici, à Montréal.
A fine frenzy - Almost lover
Your fingertips across my skin
The palm trees swaying in the wind
Images
You sang me Spanish lullabies
The sweetest sadness in your eyes
Clever trick
Well, I never want to see you unhappy
I thought you'd want the same for me
[Chorus]
Goodbye, my almost lover
Goodbye, my hopeless dream
I'm trying not to think about you
Can't you just let me be?
So long, my luckless romance
My back is turned on you
Should've known you'd bring me heartache
Almost lovers always do
We walked along a crowded street
You took my hand and danced with me
Images
And when you left, you kissed my lips
You told me you would never, never forget
These images
No
Well, I'd never want to see you unhappy
I thought you'd want the same for me
[Chorus]
Goodbye, my almost lover
Goodbye, my hopeless dream
I'm trying not to think about you
Can't you just let me be?
So long, my luckless romance
My back is turned on you
Should've known you'd bring me heartache
Almost lovers always do
I cannot go to the ocean
I cannot drive the streets at night
I cannot wake up in the morning
Without you on my mind
So you're gone and I'm haunted
And I bet you are just fine
Did I make it that
Easy to walk right in and out
Of my life?
[Chorus]
Goodbye, my almost lover
Goodbye, my hopeless dream
I'm trying not to think about you
Can't you just let me be?
So long, my luckless romance
My back is turned on you
Should have known you'd bring me heartache
Almost lovers always do
"Tous les départs resserrent les coeurs qui se séparent." *Laurent Voulzy
Your fingertips across my skin
The palm trees swaying in the wind
Images
You sang me Spanish lullabies
The sweetest sadness in your eyes
Clever trick
Well, I never want to see you unhappy
I thought you'd want the same for me
[Chorus]
Goodbye, my almost lover
Goodbye, my hopeless dream
I'm trying not to think about you
Can't you just let me be?
So long, my luckless romance
My back is turned on you
Should've known you'd bring me heartache
Almost lovers always do
We walked along a crowded street
You took my hand and danced with me
Images
And when you left, you kissed my lips
You told me you would never, never forget
These images
No
Well, I'd never want to see you unhappy
I thought you'd want the same for me
[Chorus]
Goodbye, my almost lover
Goodbye, my hopeless dream
I'm trying not to think about you
Can't you just let me be?
So long, my luckless romance
My back is turned on you
Should've known you'd bring me heartache
Almost lovers always do
I cannot go to the ocean
I cannot drive the streets at night
I cannot wake up in the morning
Without you on my mind
So you're gone and I'm haunted
And I bet you are just fine
Did I make it that
Easy to walk right in and out
Of my life?
[Chorus]
Goodbye, my almost lover
Goodbye, my hopeless dream
I'm trying not to think about you
Can't you just let me be?
So long, my luckless romance
My back is turned on you
Should have known you'd bring me heartache
Almost lovers always do
"Tous les départs resserrent les coeurs qui se séparent." *Laurent Voulzy
5.11.07
Mes larmes brûlent ma peau en coulant, j'ai peur.
Peur de mourir, peur d'être seule, peur d'avoir mal. Peur d'être malheureuse, encore, encore, toujours. Peur de ne pas m'endormir, peur de ne pas me réveiller. Peur de souffrir, peur de décevoir. Peur de devenir malade. Peur de devenir folle. Peur de ne plus jamais être normale. Peur de fuir, peur de faire fuir. Peur de crier, peur de garder le silence. Peur de moi, peur de toi, d'elles, de lui.
Je suis triste. Je pleure vers moi, vers l'infini, comme un cri, un appel à l'aide, un hymne silencieux à la vie qui fait mal. Je souffle par tempo, par bourrasque de vie, de peine. Je souffle par petits cris, étouffés, je respire, péniblement. J'essais tant bien que mal de calmer ce souffle qui me donne envie de vomir. Je suis incapable d'arrêter de pleurer, incapable d'arrêter de laisser couler ma peine, ma rage de ne pas être comme les autres, de ne pas être capable de me battre aussi fort que je le voudrais contre ce qui me mange par en dedans. Je ne suis pas capable d'expliquer, ni de parler, ni de crier. De me donner un coup de pied au derrière et de me dire: "vas-y, fonce".
J'écris pour vivre, j'écris pour respirer, pour ne pas mourir dans ma tête.
Peur de mourir, peur d'être seule, peur d'avoir mal. Peur d'être malheureuse, encore, encore, toujours. Peur de ne pas m'endormir, peur de ne pas me réveiller. Peur de souffrir, peur de décevoir. Peur de devenir malade. Peur de devenir folle. Peur de ne plus jamais être normale. Peur de fuir, peur de faire fuir. Peur de crier, peur de garder le silence. Peur de moi, peur de toi, d'elles, de lui.
Je suis triste. Je pleure vers moi, vers l'infini, comme un cri, un appel à l'aide, un hymne silencieux à la vie qui fait mal. Je souffle par tempo, par bourrasque de vie, de peine. Je souffle par petits cris, étouffés, je respire, péniblement. J'essais tant bien que mal de calmer ce souffle qui me donne envie de vomir. Je suis incapable d'arrêter de pleurer, incapable d'arrêter de laisser couler ma peine, ma rage de ne pas être comme les autres, de ne pas être capable de me battre aussi fort que je le voudrais contre ce qui me mange par en dedans. Je ne suis pas capable d'expliquer, ni de parler, ni de crier. De me donner un coup de pied au derrière et de me dire: "vas-y, fonce".
J'écris pour vivre, j'écris pour respirer, pour ne pas mourir dans ma tête.
Je me comprends pu. Depuis un certain moment déjà. Je tourne en rond. Dans ma tête. Dans mon intérieur. Je suis comme une lionne en cage.
Tout ce que j'ai pu faire aujourd'hui, c'est dormir. Manger un peu. M'étendre dans mon lit avec le chat. Dormir. Me relever, être mêlée. Tourner en rond dans l'appartement.
Je pense à prendre un peu de repos. Je ne sais plus ce qui est bon pour moi. Une amie m'a parlé de la Côte-Nord, du centre de crise aussi. La maison? Attendre Noël? Trop de possibilités, pas assez de décision, pas assez de certitudes. Je ne sais pas.
Je ne sais pas.
Tout ce que j'ai pu faire aujourd'hui, c'est dormir. Manger un peu. M'étendre dans mon lit avec le chat. Dormir. Me relever, être mêlée. Tourner en rond dans l'appartement.
Je pense à prendre un peu de repos. Je ne sais plus ce qui est bon pour moi. Une amie m'a parlé de la Côte-Nord, du centre de crise aussi. La maison? Attendre Noël? Trop de possibilités, pas assez de décision, pas assez de certitudes. Je ne sais pas.
Je ne sais pas.
31.10.07
Conversation entre lui et moi.
Étendus sur le lit, enroulés dans la doudou, on discute de l'état d'esprit qui me hante ces temps-ci:
Moi: Je me sens nerveuse, comme si le coeur voulait me sortir du corps à chaque fois.
Lui: Tu devrais pas, tu t'en mets beaucoup sur les épaules.
[...]
Moi: C'est un p'tit bout qui me manque ça, la confiance en moi.
Lui: C'est pas vrai ça, t'en as de la confiance en toi. Quelqu'un qui aurait pas de confiance en lui irait pas à la télévision, ferait pas ce que tu as fait. Tu en as de la confiance en toi, mais tu doutes de toi quand c'est quelqu'un qui compte. Comme si les autres étaient toujours mieux que toi. Mais t'es aussi bonne qu'eux.
Je me mets à pleurer doucement.
Lui: Pleures pas, j'aime pas faire pleurer les gens.
Il me prend dans ses bras.
Moi: Tu me fais pas pleurer, je pleure, c'est pas pareil.
Moment de silence.
Moi: J'ai peur d'être abandonnée, comprends-tu?
Moi: Je me sens nerveuse, comme si le coeur voulait me sortir du corps à chaque fois.
Lui: Tu devrais pas, tu t'en mets beaucoup sur les épaules.
[...]
Moi: C'est un p'tit bout qui me manque ça, la confiance en moi.
Lui: C'est pas vrai ça, t'en as de la confiance en toi. Quelqu'un qui aurait pas de confiance en lui irait pas à la télévision, ferait pas ce que tu as fait. Tu en as de la confiance en toi, mais tu doutes de toi quand c'est quelqu'un qui compte. Comme si les autres étaient toujours mieux que toi. Mais t'es aussi bonne qu'eux.
Je me mets à pleurer doucement.
Lui: Pleures pas, j'aime pas faire pleurer les gens.
Il me prend dans ses bras.
Moi: Tu me fais pas pleurer, je pleure, c'est pas pareil.
Moment de silence.
Moi: J'ai peur d'être abandonnée, comprends-tu?
23.10.07
7.10.07
Mes humeurs sont comme les vagues. Elles vont et reviennent. Je suis tourmentée par les temps qui courent. J'ai de grandes joies, de grandes peines, en alternance. Le temps n'est jamais au beau fixe. Je commence à être fatiguée. Des fois, souvent, je ne sais même pas pourquoi. Je suis épuisée, comme à bout de souffle, et pourtant, je tiens bon. J'ai les souvenirs qui me hantent, les évènements qui me troublent. Je comprends peu, je m'explique peu, tout en étant extrêmement lucide. Savoir tout en ne savant rien. Regarder sans voir. Écouter sans entendre. Parler sans son.
24.9.07
Extrait de la journée
"S"-: "Toi là, ma toi. Tu vas apprendre à te respecter. Si faut que jte brasses pour ça, ma te brasser. Mais t'as pas à accepter de te faire traiter de même. De te faire dire des affaires de même. C'est pas la faute de personne. Tu laisses rentrer ça dans ta vie. Tu laisses les gens te manquer de respect. Faut que ça arrêtes. Ça va te détruire."
18.9.07
Quand les jours deviennent trop longs,
Que le temps s'étire en interminables fils,
Quand le vide s'étend de tout son long,
Quand dans la bouche qu'un goût de bile.
Je me sauve, comme une fauve
Je me largue, je me perds
Je perds la tête.
J'imagine, je m'explose.
Je me calme, je dors.
Je me regarde, je pense.
Je laisse mes larmes dans tes mains,
Je coule telle la mer en mon sang
Tel mon amour dans tes veines.
Je suis, désespérée, à l'affût d'harmonie
À la recherche de temps, d'espace.
Je suis voyageuse d'esprit, bourlingueuse de personnalité, je me cherche, je me croise, je me transporte. Je suis celle qui sera.
Que le temps s'étire en interminables fils,
Quand le vide s'étend de tout son long,
Quand dans la bouche qu'un goût de bile.
Je me sauve, comme une fauve
Je me largue, je me perds
Je perds la tête.
J'imagine, je m'explose.
Je me calme, je dors.
Je me regarde, je pense.
Je laisse mes larmes dans tes mains,
Je coule telle la mer en mon sang
Tel mon amour dans tes veines.
Je suis, désespérée, à l'affût d'harmonie
À la recherche de temps, d'espace.
Je suis voyageuse d'esprit, bourlingueuse de personnalité, je me cherche, je me croise, je me transporte. Je suis celle qui sera.
15.9.07
2.9.07
26.8.07
J'ai finalement dessiné ton portrait. Ça m'a fait du bien.
J'ai ensuite dessiné le chat. Elle a eu l'air d'apprécier son portrait.
J'ai joué au Scrabble. Paraît que ça change les idées. J'avais beaucoup d'autres mots en tête que ton nom. Bon signe.
J'ai eu un courriel d'une amie. Elle m'a écrit ce que j'avais besoin de lire.
J'ai regardé un livre d'images, parcouru les photos. J'ai imaginé un voyage. Fallait absolument que je comptabilise les sous lundi.
J'ai entendu une chanson que j'aime. Ça m'a rappellé des souvenirs, dans lesquels tu n'étais pas. Pure coïncidence.
Si t'es souvent dans mes pensées ces temps-ci, pardonne-moi, c'est que je veux bien penser à toi. J'ai mes hauts, mes bas, mes peurs, mes angoisses, mes joies aussi. Je vois bien des gens, je suis bien entourée. C'est pas faute de querelles, mais disons que je choisis les gens maintenant. Ceux qui font partie de ma vie. Pardonne-moi si je t'ai laissé croire autre chose, mais cette fois, la personne que je choisis, c'est moi.
N'aies crainte. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.
J'ai ensuite dessiné le chat. Elle a eu l'air d'apprécier son portrait.
J'ai joué au Scrabble. Paraît que ça change les idées. J'avais beaucoup d'autres mots en tête que ton nom. Bon signe.
J'ai eu un courriel d'une amie. Elle m'a écrit ce que j'avais besoin de lire.
J'ai regardé un livre d'images, parcouru les photos. J'ai imaginé un voyage. Fallait absolument que je comptabilise les sous lundi.
J'ai entendu une chanson que j'aime. Ça m'a rappellé des souvenirs, dans lesquels tu n'étais pas. Pure coïncidence.
Si t'es souvent dans mes pensées ces temps-ci, pardonne-moi, c'est que je veux bien penser à toi. J'ai mes hauts, mes bas, mes peurs, mes angoisses, mes joies aussi. Je vois bien des gens, je suis bien entourée. C'est pas faute de querelles, mais disons que je choisis les gens maintenant. Ceux qui font partie de ma vie. Pardonne-moi si je t'ai laissé croire autre chose, mais cette fois, la personne que je choisis, c'est moi.
N'aies crainte. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.
25.8.07
J'ai compris pourquoi on s'était laissé au tournant du chemin.
On s'aimait trop peu, on s'aimait trop mal.
On s'aimait trop peu, on s'aimait trop mal.
***************************************
J'ai envie de dessiner ton portrait. Peut-être qu'ensuite, j'oublierai ton beau visage. Chaque trait de crayon, chaque ombre de ta peau se glissera dans l'oubli pour m'envoyer qu'un ami fidèle. Dénuer ton aura de sexe, attaquer les attirances, se balader dans l'intellect pour oublier qui nous fûtes, voir nos affinités plutôt que nos corps. J'ai envie de partager avec toi une bouteille de vin, de parler de tout et de rien. De t'embrasser pour le plaisir, sans que ça n'implique rien. Sans qu'il n'y ait de quiproquo. Je n'ai pas envie de partager mon lit. J'ai envie que tu partes.
22.8.07
En direct de mon cerveau.
Je sais pas trop pourquoi j'angoisse. Je sais que tout ce que je pense en ce moment est irrationnel. Pourtant, j'y pense pareil. L'école, ça arrive ben trop vite, je suis pas assez préparée, je sais pas si j'ai tout, y'a personne qui me dit rien, j'ai peur de me tromper. De pas savoir où je m'en vais et de passer pour une tête en l'air. Y'a un cours que je peux même pas rentrer dans mon horaire pis ça me fait chier, falloir je me débattes avec la logistique administrative en passant pour une conne qui retardes et tout. Je sais pas si je vais être correcte dans mes sous, si ça va bien aller, si je vais aimer ça. Ça me fout la chienne grave. Pis là avec mes horaires de travail, est-ce que ça va bien aller, je sais, mais j'adore ma job, j'adore le monde avec qui je travaille, sauf que j'angoisse, j'angoisse sans raison, j'ai peur de pas être à la hauteur, j'ai peur de faire des erreurs parce que je suis fatiguée. Faut que je comprenne que S., elle m'aimera pas moins si je fais des erreurs. Je me sens mal à chaque fois que je fais une gaffe, j'ai l'impression que c'est la fin du monde, qu'elle va m'en vouloir et pourtant je sais que non. Faut je me laisse le temps, elle comprend, faut que je le comprenne. Dans le fond, je sais que je suis capable mais je le comprends mal. Je me vois poche. Pis, lui, je l'ai appelé trop souvenjt ces temps-ci, là il va se mettre des idées dans la tête, comme quoi je l'aime encore et tout. C'est pas tout à fait faux, je peux pas me détacher illico mais en même temps, je sais que le pire est passé, sauf que quand je l'appelle, je me sens coupable, sur la corde raide en attendant un jugement. Je l'ai appelé à chaque fois pour un motif particulier et ça il ne peut le savoir puisqu'à chaque fois ça a avorté avant. Mais là, j'ai peur de son jugement, de ce qu'il pense, de le perdre aussi. J'aimerais l'avoir comme ami, sans avoir peur de mes gestes, de ses pensées. Point barre. C'est compliqué les relations d'humain. J'aime pas ça avoir peur, ça devrait pas m'empêcher d'avancer. Je le sais ça. Je le sais que dans le fond je m'en fais pour rien. Y'a une phrase qui me reste dans la tête. "Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne jamais." Merci So.
4.8.07
De mes nouvelles, bonnes nouvelles.
Par où commencer? J'ai une nouvelle job que j'adore. C'est un emploi très valorisant, très dynamique, où l'on se développe beaucoup. Je passe ma journée à chercher des solutions, ce qui est pour moi très constructif. Je développe de nouvelles qualités, je m'ajuste, j'évolue, dans tous les sens du terme. Et plus je me vois aller, plus ça me motive à aller plus loin, à me dépasser, à continuer sur ma lancée.
Aussi, je contrôle beaucoup mieux mon stress. Je le comprends mieux, je le gère mieux. Je comprends la source principale de mon stress. C'est moi. Je génère du stress, inutilement, comme ça, parce que je le veux. Je presse mes épaules de toutes sortes de choses lourdes, j'incline mon dos sous le poids de ses choses, que j'ai choisi de mettre sur mon corps et mon mental. Je me rends coupable de plusieurs évènements, sans raison. Et j'essayer d'arrêter de le faire. De me rendre compte quand je le fais et d'arrêter le processus en cours. De faire un gros "FUCK OFF" et de penser à moi. Juste à moi.
Je discute avec le chat, je la force à m'aimer, j'en prends soin. Ça m'occupe. Je parle aussi à mon grand-papa, qui apparemment veille sur moi et m'aider à me "re-grounder" avec ce qui m'entoure. Je me concentre à m'écouter. À me connaître, à m'apprécier. À voir ce que je suis, ce que j'aime, ce que je veux. J'ai découvert une nouvelle sérénité. Et je l'apprécie grandement.
Ainsi vont les bonnes nouvelles. On peut dire que c'est le beau temps après la pluie, le soleil qui rayonne un peu tout partout. Les papillons, la liberté. Le vent qui m'emporte. Ça me rend poétique, c'est vrai. Mais, par dessus-tout, ça me rend fière. Fière d'être ma meilleure amie, d'être heureuse sans l'aide de personne, de me comprendre mais surtout de m'écouter.
"Quand une porte se ferme, une autre s'ouvre."-Miguel de Cervantès
29.7.07
M'accrocher.
"Avancer, c'est vain
Quand y'a rien à l'horizon
À mes pieds, y'a un ravin
Mais j'en vois même pas l'fond
À quoi bon chercher plus loin
Quand c'est pour creuser encore plus profond"
Quand y'a rien à l'horizon
À mes pieds, y'a un ravin
Mais j'en vois même pas l'fond
À quoi bon chercher plus loin
Quand c'est pour creuser encore plus profond"
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